Andoni Maillard emprunte différents médiums dans son art, à la fois provocateur et désarmant de kitch. Ses gravures sur bois, scènes de batailles urbaines, laissent un gout de trophée de chasse. Mêlant une dextérité féminisée à des sujets comblant la gente masculine, l’économie de moyen confrontée à cette patience d’exécution exulte le sujet de l’œuvre.